Les animaux malades du cirque, ou l'esclavage itinérant

Un rapport de One Voice, réalisé par Franck Schrafstetter

Selon Claude Roy 1 , une mesure du progrès moral pourrait être « l’augmentation ou la diminution du nombre des êtres vivants à qui on ne demande par leur avis ». Les animaux
de cirque en font partie.

Ce rapport n’est en aucun cas une remise en cause du cirque traditionnel en tant que tel, et n’entrera donc pas dans les débats esthétiques entre cirques traditionnels et cirques
contemporains. Notre position en faveur du cirque nouveau ne se base que sur la quasi-absence d’animaux qui le caractérise. De même, nous ne manquerons pas de soutenir
tous les cirques traditionnels qui accepteront d’évoluer vers un cirque sans animaux.

1. ROY Claude, « La fleur du temps », éd. Gallimard, 1983.
01/01/2002